LE CERVEAU PRIMAIRE

L'olfactothérapie utilise le rhinencéphale c'est-à-dire la partie du cerveau que l’on appelle aussi le cerveau ‘primaire’  qui gère à la fois la mémoire archaïque, que nous avons en commun avec de nombreux animaux, nos émotions et nos pulsions et bien évidemment le sens de l’odorat. Les neurones du nerf olfactif achèvent ici leur course en délivrant leurs précieux messages. C’est cette extra-ordinaire proximité, voire promiscuité de gestion d’informations entre le centre de la mémoire et le sens olfactif qui permet l’émergence quasi immédiate de souvenirs rattachés à l’odeur sentie et ‘ressentie’, sans passer par le Cortex, siège de l’analyse mentale. C’est justement ce qui fait la force de l’olfaction. Elle va droit au but, droit au cœur de nos souvenirs… Ces souvenirs peuvent aller de très agréables à très perturbants… Et c’est justement ce que l’on recherche, ces perceptions olfactives non ou peu aimées!


 Et si justement, la libération de nos lourdeurs intimes et intérieures était à la hauteur du désagrément émotionnel/olfactif ?...

contrairement aux fragrances des ‘Parfums des Chakras’ dont le choix se fait en fonction de la préférence et de l’affinité immédiate. Dans ce cas, le parfum est en général inconsciemment choisi en correspondance avec un Chakra dont l’activation n’est pas optimale :

il sert alors à réinformer ce dernier et à lui apporter un supplément d’énergie vibratoire afin de le vitaliser.

 

UNE HISTOIRE VIBRATOIRE

Ce qui se passe pendant une séance d’olfcatothérapie, est une aventure qui commence au bout d’une mouillette imprégnée d’une huile essentielle… Mais, pas n’importe quelle huile essentielle : en effet, nous savons que tout dans le monde qui nous entoure vibre à une fréquence plus ou moins rapide. Dans le monde végétal, qui vibre déjà plus rapidement que le monde minéral, il existe une infinie quantité de caractéristiques différentes selon les familles de plantes et même au sein d’une même famille. Il se trouve que parmi ces plantes, certaines se trouvent avoir un taux vibratoire analogue à chacun de nos 7 principaux Plexus, aussi appelés Chakras.

Ces Chakras – terme Sanskrit qui signifie ‘roue’ – sont en fait des centres énergétiques qui sont situés le long de la colonne vertébrale et qui régissent chacun des fonctions physiques, émotionnelles, psychologiques, mentales et spirituelles.

Chacun d’entre eux a une ‘tonalité’ particulière, une résonance vibratoire qui lui est propre. L’huile essentielle choisie va donc entrer en résonance vibratoire avec le Chakra correspondant et va nous renseigner sur son état : tourne-t-il ‘bien rond’ ?... Eh bien, la réponse qui ne se fait généralement pas attendre est oui, si l’odeur est perçue comme agréable ou bien non si l’odeur est perçue comme désagréable ou dérangeante. En effet, elle indique un dysfonctionnement mis à jour par la réaction émotionnelle du patient en lui faisant par exemple remonter à la conscience un souvenir lié à un évènement vécu alors comme difficile, dérangeant, perturbant ; parfois, c’est une scène, pas forcément vécue en réalité, mais en relation directe avec la problématique émergeante, qui peut aussi s’imposer avec force détails et précisions. Alors, la qualité vibratoire forcément ‘saine’ de la plante, va redonner au Chakra en dysfonctionnement l’information saine qu’elle-même porte et par analogie, le Chakra s’en trouvera à nouveau rééquilibré, pourra ‘tourner rond’ : c’est important pour une roue ! et qui plus est, dans le bon sens.
En re-fonctionnant positivement, il va bien sûr permettre à toutes les fonctions qu’il contrôle de repartir ‘bon-pied, bon-œil’ !